Histoire d'Internet : l'espoir - épisode 3

On n'a pas encore la bonne technique, mais on a des idées.

Lecture des épisodes précédents fortement conseillée :
1 (histoire d'internet : la débâcle)
2 (histoire d'internet : le retour du pire)

Bon, nous sommes dans la panade avec notre réseau des réseaux qui prend l'eau,  les hackers en veulent à nos numéros de carte bleue, les spammeurs nous inondent de pub pour les petites pilules bleues et les contrefaçons,  Tom Cruise et Bruce Willis ne sont pas dispo. Qu'est-ce qu'on fait ?

Mais qui dirige tout ce bazar ?

Bein... Disons que ce n'est pas très organisé tout cela.
Nous avons vu que MONsieur Day (épisode 2) ne s'étonne pas de la situation vu la manière dont le réseau Internet a été conçu. Mais en plus, l'organisation générale est un peu chaotique.

C'est normal, le réseau des réseaux mélange les réseaux (c'était le but initial). Alors du coup, pas possible de nommer un chef. Vous vous rendez compte, chef d'Internet, ce serait un peu comme être chef du monde ! Quoique je vois déjà Google pointer le bout de son nez, mais c'est une autre histoire.

Ce grand bazar n'a donc aucune vraie autorité légale de régulation. Il faut dire que mettre d'accord les grands chefs de plus de 30 000 réseaux distincts (AOL, France Télecom, Deutch telecom, le Pentagone, etc.) n'est pas chose facile.

Plusieurs organisations essaient donc de réguler tout cela tant bien que mal. L'ICANN ( Si un jour ils y pensent, on referait bien le design de leur site à ceux-là) est la principale. C'est une société californienne. Elle dépend du département américain du commerce. Elle gère l'attribution des noms de domaine, et donc des adresses IP ainsi que l'annuaire DNS.

Les nouveautés techniques du Net, sont-elles, gérées par un groupe ouvert à tous l'IETF (la réflexion au sujet du site vaut pour eux aussi). En fait, si vous parlez anglais et que vous assistez aux trois réunions annuelles, vous pourrez voter pour l'adoption d'une norme au milieu du bor....el ambiant. C'est mieux si vous participez aux groupes de travail, qui se font en réseau bien sûr. Résultat, y sont définis des standards truffés de failles...(quand tout le monde veut tirer la couverture à soi...)

Au moins, à l'AFNIC, ça ne va pas vite, mais c'est un poil mieux organisé, vive la France (et le site n'est pas mal comparé aux deux autres).

Par ailleurs, l'ISOC est une autorité morale fondée en 1992 pour coordonner le développement des réseaux sur la planète.

Vu l'état des lieux, qu'est-ce qu'on fait ?

Bon, disons-nous que jusqu'ici, tout va bien. J'accède encore à mes sites préférés et ne me suis pas encore fait piquer mon numéro de carte bleue sur le Net. D'ailleurs, statistiquement, j'ai plus de chance de me la faire voler dans la rue. Mon PC n'est pas encore vérolé (mais je sors couvert) et je gère mes SPAM tant bien que mal (merci Spamassassin et Thunderbird).

En fait, les avis divergent (le contraire m'eut étonné)

Certains veulent faire table rase du passé, tout recommencer à zéro en intégrant dès le départ les notions de sécurité et d'authentification. Tout ceci en prévoyant un volume de flux sans cesse grandissant. Ce sont les visionnaires, ils prévoient déjà l'internet du futur. Si on ramène cela à la préhistoire, ils font partie de ceux qui ont inventé la roue alors que tout le monde se contentait de trainer les brancards par terre. Moi j'aime bien ces gens-là. Pour info voici déjà un petit bout du futur

D'autres nous disent que ce n'est pas jouable financièrement, qu'il faudra attendre qu'une nouvelle application majeure ne se satisfasse plus du réseau actuel pour passer à autre chose, l'application révolutionnaire est-elle dans les tiroirs ?
En attendant, on réagit plus rapidement face aux attaques, on gère les bouts de sparadraps du réseau.
Moi j'y crois à une nouvelle application. À la vitesse où la technologie évolue. Et je ne vois pas de limite à l'imagination humaine.

En parallèle, des condamnations bien plus fortes des fraudeurs (si on arrive à les attraper) feront peut-être réfléchir les filous.

Concernant l'extension du réseau,on peut supposer que les gouvernements, français entre autres, vont obliger, voire aider, les opérateurs afin de permettre l'installation de nouvelles infrastructures. Des réseaux privés verront aussi sans doute le jour.

Les concepteurs de sites et d'applications diverses peuvent aussi essayer de travailler sérieusement, pour compresser les scripts ou les images correctement par exemple, cela économise la bande passante. De l'éco contribution informatique en somme (bein oui, un serveur,  plus on le fait travailler plus ça consomme).

Bref, sans pétrole, on a des idées, sans le Net actuel, on s'en construira un autre.
À ceux qui me taxeront d'optimisme démesuré, je donne rendez-vous dans vingt ans (pour le coup, je lirai peut-être certains SPAM ce jour-là).

Et puis comme dit l'autre « Yes, we can ! »

En attendant.

Prévoyons de payer la bande passante de plus en plus cher (abonnement télé par le Net, ou si votre site propose des vidéos)
Si vos sites sont dynamiques (boutiques en ligne, etc.) faites les développer par des gens compétents en terme de sécurité 😉 .
Sortez couverts : votre système d'exploitation est-il à jour ?
Et votre anti-virus ?
Et votre Firewall ?
Et votre parapluie (ils annoncent des averses aujourd'hui) ?

A relire :
Histoire d'Internet :  La débacle - épisode 1
Histoire d'Internet :  le retour du pire - épisode 2

Articles inspirés (pas plagiés) d'un article du numéro 1095 du magazine science & vie.

Lectures connexes :

http://www.e24.fr/chroniques/tectoniquedesclics/article16472.ece (pas donnée la bande passante...)
http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2007/06/20/youtube-squatte-la-bande_955140
(nous sommes attaqués de toutes parts)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Internet
http://www.zataz.com/
http://www.searchoclock.com/ (rien à voir, mais cela change de notre moteur de recherche habituel et peut redonner le moral à certains)

Fin de la trilogie : vos idées et commentaires sont les bienvenus !

(je recevrai un mail quand un article est publié (no spam)

17 thoughts on “Histoire d'Internet : l'espoir - épisode 3

  1. Didier

    Ouf ! A la lecture de ce troisième article, je suis un peu rassuré, je vois que certains se penchent déjà sur le sujet.
    Le "petit bout du futur" est excitant, c'est la fin des virus, du moins, sur le papier, car les hackers trouveront d'autres solutions, je leur fait confiance.

    Sinon, je fais des économies pour me payer de la bande passante et je te contacte dans 20 ans, On commandera nos pilules bleues ensemble, on négociera des prix.

    Globalement, merci pour cette série d'articles, j'ai appris des trucs. Je n'imaginais pas que Youtube et Facebook consommaient autant !
    Merci de vulgariser tous ces trucs incompréhensibles 🙂

  2. Djolhan

    Merci bien pour ces articles très intéressants et ce sujet passionnant !

    J'ai suivi il y a une 10ene d'année un projet chez ericson concernant le nouvel internet, on est pile poile dedans aujourd'hui... Dommage que l'histoire en soit toujours au point des rustines, car il y a d'énormes choses a faire !

  3. Yohan

    Quand je lis ça, je me demande comment j'arrive à le lire. Je ne pensais pas que c'était un tel foutoir. Je ne voyais pas plus loin que ma Freebox.

  4. Françoise

    Merci Sylvain pour cette trilogie qui force la réflexion et dont le suspens à mis nos nerfs à rude épreuve pendant 3 jours 😉

    Oui, j'ai lu l'article de "Science et vie" et c'est vrai que ce n'est pas un plagiat ! Il est ici enrichi de connaissances et d'un vécu incontestable...

    Trop optimiste cette happy end ? Sans doute pas tant que ça, parce qu'on imagine bien que compte tenu des enjeux que représente l'avenir du Web, des solutions seront trouvées ! Et nous petits humains webo-dépendants, pourrait-on vivre sans lui désormais ?

    Non, les pressions de tous poils seront trop fortes pour que les cerveaux et leurs prothèses numériques ne fassent chauffer leurs synapses ! Sûr que des solutions sont déjà dans les tuyaux... longue vie donc au blog d'Axe-Net 😉

  5. Nicolas F.

    Pour les fous de sécurité, j'ai fait un regroupement des trous fréquent et des façons de s'en prémunir :

    Ca a du vous prendre pas mal de temps.

    ++

  6. Seb

    Internet quand tu nous tiens !
    En tout cas, je sais pas ce qu'on ferait si on avait plus ce joli média...
    C'est bien de complexifier toujours un peu plus l'architecture des réseaux comme de passer de l'ipv4 à l'ipv6, sinon ce serait pas marrant 🙂

  7. Thierry

    Amusante cette trilogie. Moi aussi, j'ai appris beaucoup de choses qui pour une fois ne sont pas expliquées de manière austère.

    Je n'ai pas tout compris à l'histoire des adresses ip et la page de wikipedia comporte plus de chiffres que de lettres, ce n'est pas pour moi.

    Certains liens du dernier article m'ont donné des frissons, mais j'ai adopté search o clock !

  8. Blog referencement Oscar

    Le jour où la grande majorité des OS et même support réseaux ne sera plus sur "Windaube" ce sera un grand pas de franchi ...

  9. Stéphane Bortzmeyer

    Bon, comme cette série de trois articles est bourré d'erreurs (il vaut mieux lire les articles de Wikipédia, cités mais pas lus par l'auteur) et d'énormités diverses, je ne me sens pas le courage de tout reprendre. Je me contente de citer l'excellent article de Jean-Michel Planche, http://www.lemagit.fr/article/securite-internet-faille-neutralite/1073/1/internet-libre-ouvert-est-bien-raisonnable/ qui explique, bien mieux que je ne pourrai le faire, à quel point cette idée de refaire l'Internet à partir de zéro est dangereuse.

  10. Sylvain Auteur de l’article

    Bonjour Stéphane et merci de votre participation.
    Vous m'excuserez ci ses articles comportent quelques erreurs. Je serais d'ailleurs ravi que vous les mettiez en exergue pour mieux informer nos lecteurs. Tous les éléments proviennent de sources réputées fiables, telles que Science et Vie, Wikipédia, etc. et on été comparées à d'autres publications pour s'assurer de leur véracité.

    Ces trois articles ont avant tout pour but de vulgariser des notions souvent complexes. Quand je constate chez mes clients que de nombreux postes informatiques n'ont pas de pare-feu ou d'antivirus à jour, je me dis qu'il est sans doute utile d'éveiller un peu les consciences.

    J'ai lu avec interet votre article http://www.bortzmeyer.org/repartir-de-zero.html Pour ma part, je ne suis ni un "reparteur de zero", ni un "rustineur", je me contente de faire le constat que des problèmes existent et que d'une manière ou d'une autre, certains tentent d'y apporter des solutions.

    J'avoue ne pas adhérer à l'article de Jean-Michel Planche. Il s'interroge sur les risques de révélation des faiblesses du réseau Internet. Pensez-vous que les personnes souhaitant tirer partie de ces faiblesses attendent la publication d'articles les mettant en avant ? Repartir de zéro pour mieux sécuriser les protocoles ne me parait pas non plus dangereux, bien au contraire.

    Bien évidement, je ne suis pas partant pour la création d'un nouvel outil qui serait contrôlé et censuré par les mauvaises personnes, mais n'oublions pas que c'est déjà le cas du réseau internet actuel dans de nombreux pays.

    Reste que les règles et le contrôle me semblent utiles dans une certaine mesure. Immaginez un pays sans code de la route ou sans tribunaux...

    Concernant les moyens financiers, j'ai constaté que les budgets n'étaient pas disponibles pour résoudre la problématique de la faim dans le monde, mais que 10 fois plus a été dépensé pour sauver le système bancaire. Les moyens sont donc avant tout un choix politique. Peut-être faudra t-il attendre qu'un illuminé hack un système de défense et envoie des missiles avant de faire passer ce sujet en priorité (j'exagère avec cet exemple, mais les attaques en provenance d'états ne sont pas nouvelles, même si celles-ci n'ont à ce jour jamais impacté directement les systèmes militaires... A ce jour...)

    Et pour en terminer avec mon opinion sur cet article de Monsieur Planche, je ne suis pas d'accord non plus sur le fait de faire confiance aux utilisateurs quand je constate qu'une bonne partie d'entre eux est composée de mafias et autres organisations criminelles.

    Je dirais tout de même qu'il a raison sur un point, jusqu'ici tout ne va pas encore si mal.

    Vous dites vous-même dans l'un de vos articles "A priori, l'idée est raisonnable. Un bon ingénieur ne va pas corriger sans cesse un objet technique mal conçu, il va le refaire", puis "On peut refaire la peinture de son appartement, pas raser Paris pour la refaire en mieux.". C'est pourtant ce que de très nombreuses villes ont subies (Nagasaki, Le Havre, San-Fransisco, qui ont maintenant des systèmes en place plus pratique qu'auparavant - égouts, réseau routier), je ne jugerai pas de la qualité esthétique de ces villes ;-). Pour ne pas sortir vos phrases de leur contexte, je me permet d'ajouter le lien vers l'article complet : http://www.bortzmeyer.org/science-et-vie-table-rase.html

    Je vous rejoins toutefois sur la nécessité de clarifier le cahier des charges d'un nouvel outil et ce n'est pas gagné d'avance.

    En parallèle, j'ai consulté de nombreux articles de votre blog et je me permets d'en remettre l'adresse ici : car si vous abordez les choses de manière sans doute un peu trop technique pour une bonne partie de notre lectorat, j'ai trouvé que vos publications sont une mine d'informations techniques particulièrement intéressantes.

    N'hésitez pas à intervenir sur notre blog quand vous le souhaitez. Très cordialement

  11. Stéphane Bortzmeyer

    OK, c'est parti, je fais la liste des problèmes, puisqu'on me le
    demande gentiment. Ici, je ne parle que de l'article « Histoire
    d’Internet : l’espoir – épisode 3 ».

    Les remarques sur les sites Web de l'ICANN et de l'IETF sont assez
    bêbêtes. Aucun détail n'est donné sur ce qui ne va pas avec ces sites
    Web : pas assez de contenu ? Des erreurs dans le contenu ? Des bogues
    techniques ? Le lecteur n'en saura pas plus. Je soupçonne que le vrai
    problème est qu'il n'y a pas assez d'images qui bougent sur ces sites
    qui, en effet, privilégient le contenu.

    La remarque sur le vote à l'IETF est fausse : il n'y a justement pas
    de votes à l'IETF
    . Et surtout pas
    lors des réunions physiques, puisqu'elles sont facultatives.

    Certes, l'IETF est assez désordonné. Quelle solution ? Remplacer ce
    rassemblement ouvert d'ingénieurs du monde entier par une petite
    clique de bureaucrates dictateurs qui travaillera de manière
    fermée. Ça s'est déjà fait (les guildes, corporations et autres
    jurandes au Moyen Âge). Veut-on le refaire ?

    Dire que Science et Vie est une « source réputée fiable » est
    franchement ridicule (en tout cas pour les articles concernant
    l'informatique, que je peux évaluer). Et, à propos de Wikipédia,

    Les gens qui veulent « faire table rase du passé, tout recommencer à
    zéro en intégrant dès le départ les notions de sécurité et
    d’authentification » ne sont pas des « visionnaires » mais soit des
    vendeurs de vent (qui essaient d'obtenir des subventions en promettant
    des merveilles qu'ils seront bien incapables de réaliser, notez
    qu'aucun d'entre eux ne se risque à proposer quelque chose de concret)
    soit des gens qui regrettent le caractère trop ouvert de l'Internet
    et qui cherchent à le refermer (méthode classique : on fait peur au
    peuple avec des discours invérifiables sur l'insécurité, puis on fait
    voter des lois liberticides).

    Si l'Internet n'a pas été bâti avec la sécurité intégrée, ce n'est pas
    parce que ses concepteurs étaient des hippies naïfs qui faisaient
    confiance à la nature humaine. C'est tout simplement parce que le
    problème n'est pas soluble dans un environnement ouvert. Soit il y a
    un dictateur mondial qui fixe des règles qui s'imposent à tous (avec
    l'US Air Force derrière pour les faire respecter) soit on continue à
    vivre dans un monde qui est un bordel et l'Internet reflétera alors la
    réalité du monde.

    Eh oui, contrairement à ce que croient des soi-disant visionnaires comme John Day,
    l'Internet est un réseau social bien plus qu'un réseau technique. Ses
    limites et ses problèmes sont d'abord ceux de la société qui l'a
    créé. Le monde est compliqué, l'Internet l'est aussi.

  12. Sylvain Auteur de l’article

    Bonjour Stéphane et merci de cette réponse à notre invitation pour nous éclaircir de nombreux points.

    Pour ce qui est de notre réflexion désobligeante au sujet des sites de l'Icann et de l'IETF, vous auriez compris que nous parlions de graphisme en lisant l'article. Je comprends parfaitement que vous n'y soyez pas sensible (nos développeurs se satisferaient eux aussi de lignes de textes vertes sur fond noir), mais sans doute comprendrez-vous que d'autres personnes puissent avoir un avis différent du votre sur le sujet. Je ne pense pas qu'un seul graphiste juge ces sites agréables, et je conclurai sur ce point en disant que je pense que la qualité graphique ne se juge pas aux images clignotantes, bien au contraire.
    Je comprends bien que cet aspect des choses n'est pas votre tasse de thé et vous propose donc de zapper sur cet aspect.

    Concernant l'IETF, je n'ai pas de solution à vous proposer pour rendre son fonctionnement plus organisé, mais n'oublions pas que si c'est un rassemblement ouvert d'ingénieurs, ceux-ci sont payés par des entreprises commerciales et donc partiaux dans leur jugement. Le monde des bisounours est bien loin.

    Concernant le sérieux de Science et vie, je prendrai soin maintenant de me tourner vers votre blog très documenté pour comparer les sources et avoir des points de vue différents. Pour ce qui est de Wikipedia, il me semble que dans un article que vous avez consacrer à son sujet que vous jugiez cette ressource appréciable : http://www.bortzmeyer.org/wikipedia.html

    Je vous rejoins toutefois sur votre conclusion, les problèmes sur le net sont les mêmes que dans la société physique et bien réelle. Dans la vie réelle, certains tentent d'améliorer les choses, je ne leur jetterai donc pas la pierre.

    Pour le futur du net, je pense que vous m'accorderez le droit de penser qu'il est bien difficile de savoir ou nous en serons dans 20 ou 50 ans.

    En parallèle, je vous remercie à nouveau de vos interventions sur notre blog dans la mesure ou vous possédez des connaissances techniques qui sont parfois pour nous très touffues. Vous l'aurez remarqué, nos compétences (et la teneur de nos articles) sont surtout relatives au référencement sur les moteurs de recherche.

    Merci encore

  13. Sylvain Auteur de l’article

    @ Stéphane

    Après avoir consulté votre dernier article :
    http://www.bortzmeyer.org/seo-principes.html
    et y avoir lu une montagne d'inepties, je pense qu'en fait, je me passerai bien de vos nouvelles interventions ici.
    Vous n'êtes sans doute pas le spécialiste que j'avais cru lire et vous dites visiblement autant de bêtises que vous m'en reprochez.
    Nous pourrons éventuellement échanger sur votre blog si vous vous sentez prêt à vous ouvrir à la critique en y proposant la possibilité d'y laisser des commentaires.

    Et que dire de ceci ?
    -http://www.weboviral.com/la-saga-dantoine-letrou-chapitre-1-fascination/
    Est-ce aussi de votre cru ?

  14. Stéphane Bortzmeyer

    La sage d'Antoine Letrou ? Non, ce n'est pas moi. C'est quand même un style assez différent du mien...

  15. Sylvain Auteur de l’article

    @ Stéphane

    J'en conviens, veuillez excuser la méprise.

    Et pour le reste ? Vous tentiez de me battre en publiant des âneries plus grosses encore que les miennes ?

  16. Martin

    Dites, les gens, depuis quand la Wikipedia est une source réputée fiable ? Pour mémoire, il s'agit d'un site où n'importe qui peut mettre n'importe quoi. D'où sort donc cette supposée fiabilité ?

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